Je remonte par le train de 16h encouragé par Philippe, le nuage est toujours présent mais un peu moins bas et nous voyons bien l'atterrissage.
Je décolle, mais ça tient moins bien que tout à l'heure, je m'agrippe à chaque ascendance les pieds dans les sapins pour prolonger le vol. La lumière rasante est magnifique, et je pars poser.